Bonjour à tous ;
Ma deuxième voiture.
Une Dauphine…..Gordini 1095
Un jour en allant présenter ma future femme à un oncle qui habitait Evreux, j’ai pris un virage rapidement et la voiture est partie sur deux roues (comme dans les films…) mais elle n’a pas tenue et nous avons finis sur les clenches de portières….là non plus elle n’a pas tenue elle s’est mise sur le toit.
Je vous assure que ça roule mal, même très mal!
C était au moment de Pâques nous avions acheté des petits œufs et je faisais la poule (le cri)!
Nous sommes sortis je ne sais plus comment mais il y a eu beaucoup plus de peur que de mal.
J’ai réussi à remettre la voiture sur quatre roues et nous avons continués notre route car nous étions attendu pour déjeuner. (J’ai vraiment eu la trouille de ma vie car l’essence se vidait sur le moteur chaud)
Mon oncle a tenu à nous raccompagner à Rouen chez mes Parents, pour eux le choc a été moins dur ! (Pour nous aussi).
La forme de la voiture n’était pas dans le catalogue des pièces détachées de la Régie Renault, le toit touchait presque les sièges, évidemment plus de pare brise, ni de lunette arrière et les portières avaient besoin d’un réglage….
Pour rentrer j’ai conduit le corps a moitié à l’extérieur en tenant ma portière qui ne fermait plus ! Pour les autres pas de problèmes je les avaient ‘ficelés ‘ à travers les glaces que je n’est pas eu de mal à baisser.
Je n’allais pas rester sans voiture, travaillant à la RNUR j’ai acheté une coque nue et avec mon ami Sylvain Monnié, dans le sous-sol de ses parents, nous avons remonté entièrement une dauphine Gordini 1095 mais….. normale
Nous avons refait nous même : la peinture intérieure de la coque nue, le câblage électrique complet ainsi que le tableau de bord, la mécanique, la tôlerie montage des aile, capots, portes par brise, lunette AR, glaces de portes, la scellerie, sièges et garniture du pavillon, la peinture extérieure, et tout le reste. Nous avons monté une voiture entièrement.
Merci aux parents de Sylvain qui ont accepté d’avoir le ‘chantier’ chez eux
Quand je parle ‘chantier’ imaginez vous le nombre de pièces mécanique et de tôlerie que représente une voiture complètement démontée plus le tas de pièces non utilisables.
1957. Au 1er janvier, Renault et Gordini signent un accord : 10 000 Dauphine Gordini sont commandées.
En octobre est présentée la première Dauphine Gordini et l’engouement est immédiat. Extérieurement, rien ne la distingue d’une Dauphine standard. L’essentiel se porte dans la partie mécanique : travail sur la culasse, soupapes inclinées avec un nouveau dessin des conduits d’admission et d’échappement, tubulures d’admission et d’échappement redessinées, circuit de refroidissement renforcé… Ces modifications sont possibles sans perturber la chaîne de production des autres Dauphine. Plus de sensations au volant pour un tarif très raisonnable !
Amicalement,
Alain.
Ma deuxième voiture.
Une Dauphine…..Gordini 1095
Un jour en allant présenter ma future femme à un oncle qui habitait Evreux, j’ai pris un virage rapidement et la voiture est partie sur deux roues (comme dans les films…) mais elle n’a pas tenue et nous avons finis sur les clenches de portières….là non plus elle n’a pas tenue elle s’est mise sur le toit.
Je vous assure que ça roule mal, même très mal!
C était au moment de Pâques nous avions acheté des petits œufs et je faisais la poule (le cri)!
Nous sommes sortis je ne sais plus comment mais il y a eu beaucoup plus de peur que de mal.
J’ai réussi à remettre la voiture sur quatre roues et nous avons continués notre route car nous étions attendu pour déjeuner. (J’ai vraiment eu la trouille de ma vie car l’essence se vidait sur le moteur chaud)
Mon oncle a tenu à nous raccompagner à Rouen chez mes Parents, pour eux le choc a été moins dur ! (Pour nous aussi).
La forme de la voiture n’était pas dans le catalogue des pièces détachées de la Régie Renault, le toit touchait presque les sièges, évidemment plus de pare brise, ni de lunette arrière et les portières avaient besoin d’un réglage….
Pour rentrer j’ai conduit le corps a moitié à l’extérieur en tenant ma portière qui ne fermait plus ! Pour les autres pas de problèmes je les avaient ‘ficelés ‘ à travers les glaces que je n’est pas eu de mal à baisser.
Je n’allais pas rester sans voiture, travaillant à la RNUR j’ai acheté une coque nue et avec mon ami Sylvain Monnié, dans le sous-sol de ses parents, nous avons remonté entièrement une dauphine Gordini 1095 mais….. normale
Nous avons refait nous même : la peinture intérieure de la coque nue, le câblage électrique complet ainsi que le tableau de bord, la mécanique, la tôlerie montage des aile, capots, portes par brise, lunette AR, glaces de portes, la scellerie, sièges et garniture du pavillon, la peinture extérieure, et tout le reste. Nous avons monté une voiture entièrement.
Merci aux parents de Sylvain qui ont accepté d’avoir le ‘chantier’ chez eux
Quand je parle ‘chantier’ imaginez vous le nombre de pièces mécanique et de tôlerie que représente une voiture complètement démontée plus le tas de pièces non utilisables.
1957. Au 1er janvier, Renault et Gordini signent un accord : 10 000 Dauphine Gordini sont commandées.
En octobre est présentée la première Dauphine Gordini et l’engouement est immédiat. Extérieurement, rien ne la distingue d’une Dauphine standard. L’essentiel se porte dans la partie mécanique : travail sur la culasse, soupapes inclinées avec un nouveau dessin des conduits d’admission et d’échappement, tubulures d’admission et d’échappement redessinées, circuit de refroidissement renforcé… Ces modifications sont possibles sans perturber la chaîne de production des autres Dauphine. Plus de sensations au volant pour un tarif très raisonnable !
Amicalement,
Alain.