Bonjour à tous,
Je réponds ici à Edouard et à Jean-Marie. Tu as raison Edouard, je n’ai pas eu le courage de me rouler dans la neige dans le plus simple appareil, pourtant quelques mois après mon retour, j’étais en Haute-Savoie à Samoëns, alors un petit village avec une station. Pour l’herbe j’en ai bien profité un peu plus tard pour d’autres raisons. Ce qui m’a le plus surpris dès mon retour, c’est que mon lieu de travail à Douai était fermé, et que j’étais muté à Paris, en 1965 la délocalisation existait déjà. Tous mes camarades, pour les plus jeunes, faisaient leur service militaire, et pour le plus âgés, mariés ou étaient partis travailler ailleurs, je me suis donc retrouvé seul. Il m’a fallu quelques mois pour me faire de nouveaux camarades. Heureusement les filles étaient exemptes du service militaire.
Amicalement.
Roland
Je réponds ici à Edouard et à Jean-Marie. Tu as raison Edouard, je n’ai pas eu le courage de me rouler dans la neige dans le plus simple appareil, pourtant quelques mois après mon retour, j’étais en Haute-Savoie à Samoëns, alors un petit village avec une station. Pour l’herbe j’en ai bien profité un peu plus tard pour d’autres raisons. Ce qui m’a le plus surpris dès mon retour, c’est que mon lieu de travail à Douai était fermé, et que j’étais muté à Paris, en 1965 la délocalisation existait déjà. Tous mes camarades, pour les plus jeunes, faisaient leur service militaire, et pour le plus âgés, mariés ou étaient partis travailler ailleurs, je me suis donc retrouvé seul. Il m’a fallu quelques mois pour me faire de nouveaux camarades. Heureusement les filles étaient exemptes du service militaire.
Amicalement.
Roland