Bonjour à vous;
Les gangas résonnent. La danse bat son plein.
La fille de Baguena va venir. Mon cœur bat.
Au début de chaque année, selon le compte lunaire des saisons, se déroule à Djanet
une très ancienne fête dont les racines païennes paraissent plonger dans la préhistoire.
Le goût inné des Touareg pour la fête va se donner libre cours et l’on en connaît qui n’auront plus le moindre sou vaillant tant ils mettent un point d’honneur à se parer de riches atouts.
Les joueuses de Ganga parées de leurs riches bijoux d’argent mènent la batterie à un rythme
endiablé et envoûtant.
Les voiles bleus doublés de vert à l’intérieur, la goudarah de laine blanche forment un ensemble du plus bel effet.
On remarquera la petite crosse courbe en bois qui sert à percuter la ganga selon un rythme très vif et très souple
Les choristes soutiennent le rythme des gangas par des battement rythmés des mains et des récitatifs scandés mais assez monotone ; les bijoux portés par les femmes représentent des fortunes tant par leur beauté que par leur ancienneté.
On pense que l’origine de cette fête est déjà évoquée au néolithique par les peintures rupestres et qu’elle serait à relier à celles qui se déroulent au Mali ou dans le Sud Marocain.
Bonne Journée
Alain
Les gangas résonnent. La danse bat son plein.
La fille de Baguena va venir. Mon cœur bat.
Au début de chaque année, selon le compte lunaire des saisons, se déroule à Djanet
une très ancienne fête dont les racines païennes paraissent plonger dans la préhistoire.
Le goût inné des Touareg pour la fête va se donner libre cours et l’on en connaît qui n’auront plus le moindre sou vaillant tant ils mettent un point d’honneur à se parer de riches atouts.
Les joueuses de Ganga parées de leurs riches bijoux d’argent mènent la batterie à un rythme
endiablé et envoûtant.
Les voiles bleus doublés de vert à l’intérieur, la goudarah de laine blanche forment un ensemble du plus bel effet.
On remarquera la petite crosse courbe en bois qui sert à percuter la ganga selon un rythme très vif et très souple
Les choristes soutiennent le rythme des gangas par des battement rythmés des mains et des récitatifs scandés mais assez monotone ; les bijoux portés par les femmes représentent des fortunes tant par leur beauté que par leur ancienneté.
On pense que l’origine de cette fête est déjà évoquée au néolithique par les peintures rupestres et qu’elle serait à relier à celles qui se déroulent au Mali ou dans le Sud Marocain.
Bonne Journée
Alain