QUATRE-VINGTS ANS APRÈS…
Bill vient juste de reprendre ses esprits, nous sommes le 13 avril 1933 !
Il fait le point sur sa situation, blessé au visage il a les yeux pleins de sang coagulé…
Que s’était-il donc passé ? Il se remémore, le Southern Cross Minor l’a lâché dans la soirée du 12 avril alors qu’il fonçait vers GAO. Moteur arrêté, avion trop chargé, volant trop bas dans une nuit sans lune il n’a pas vu le sol arriver et le crash fut inévitable !
Nous connaissons tous la suite de ce drame reprit dans : UN PAPILLON DANS LE DÉSERT.
Nul besoin de raconter l’histoire sous une autre forme, mais tout simplement de rappeler la mémoire de celui qui nous a écrit du plus profond du Tanezrouft, nous disant que peut-être il serait sauvé ?
Nous savons qu’il n’en fut rien, par contre Bill avait pris toutes les précautions pour que nous puissions savoir ce qu’il fut des huit jours où il agonisa sans jamais se plaindre. L’essentiel de son message nous faisant comprendre qu’il ne fallait pas céder à la facilité mais toujours y croire car le meilleur est toujours pour après ! Quatre-vingts ans plus tard, son message reste d’actualité…
Quatre-vingts ans plus tard, souvenons-nous de cet aventurier dont les exploits ne doivent pas être oubliés !
Amitiés Sahariennes à tous
Alain
Il fait le point sur sa situation, blessé au visage il a les yeux pleins de sang coagulé…
Que s’était-il donc passé ? Il se remémore, le Southern Cross Minor l’a lâché dans la soirée du 12 avril alors qu’il fonçait vers GAO. Moteur arrêté, avion trop chargé, volant trop bas dans une nuit sans lune il n’a pas vu le sol arriver et le crash fut inévitable !
Nous connaissons tous la suite de ce drame reprit dans : UN PAPILLON DANS LE DÉSERT.
Nul besoin de raconter l’histoire sous une autre forme, mais tout simplement de rappeler la mémoire de celui qui nous a écrit du plus profond du Tanezrouft, nous disant que peut-être il serait sauvé ?
Nous savons qu’il n’en fut rien, par contre Bill avait pris toutes les précautions pour que nous puissions savoir ce qu’il fut des huit jours où il agonisa sans jamais se plaindre. L’essentiel de son message nous faisant comprendre qu’il ne fallait pas céder à la facilité mais toujours y croire car le meilleur est toujours pour après ! Quatre-vingts ans plus tard, son message reste d’actualité…
Quatre-vingts ans plus tard, souvenons-nous de cet aventurier dont les exploits ne doivent pas être oubliés !
Amitiés Sahariennes à tous
Alain