Bonjour à tous,
Djanet,
la porte du
desert.
Djanet ou Ganat (en arabe جانت)
La commune est peuplée essentiellement de Touaregs ajjers (ou azjar. Elle était connue sous le nom de Fort Charlet du temps de l'Algérie française.
(Le capitaine Édouard Charlet prend l'oasis le 27 novembre 1911, à la tête de 135 méharistes de la Compagnie Saharienne du Tiddikelt.)
Djanet capitale administrative du Tassili-n- Ajjer dans l’extrême Sud algérien, la ville occupe une position privilégiée.
L’eau lui vient du Tassili voisin, lequel constitue un immense impluvium qui alimente par un flux souterrain la riche vallée ou sont situés les trois villages dont l’ensemble est connu sous le non de Djanet.
Fait remarquable, Djanet est essentiellement alimentée en eau par des sources et la sédentarisation des Touaregs et en ce point assez ancienne, elle semble dater de la fin du siècle dernier.
Souvent la permanence des points d’eau se décèle par la présence d’une flore hygrophile qui envahit le bord d’une guelta, le lit d’un oued ou le pourtour d’une source. Certains de ces végétaux essentiellement des roseaux, furent si abondants autrefois qu’ils se sont fossilisés sur place et qu’on en découvre les restes en bancs épais. Dans les gorges du Tassili-n-Ajjar les peuplements de joncs ne sont pas rares.
Les quatre éléments
Amicalement
Alain.
Djanet,
la porte du
desert.
Djanet ou Ganat (en arabe جانت)
La commune est peuplée essentiellement de Touaregs ajjers (ou azjar. Elle était connue sous le nom de Fort Charlet du temps de l'Algérie française.
(Le capitaine Édouard Charlet prend l'oasis le 27 novembre 1911, à la tête de 135 méharistes de la Compagnie Saharienne du Tiddikelt.)
Djanet capitale administrative du Tassili-n- Ajjer dans l’extrême Sud algérien, la ville occupe une position privilégiée.
L’eau lui vient du Tassili voisin, lequel constitue un immense impluvium qui alimente par un flux souterrain la riche vallée ou sont situés les trois villages dont l’ensemble est connu sous le non de Djanet.
Fait remarquable, Djanet est essentiellement alimentée en eau par des sources et la sédentarisation des Touaregs et en ce point assez ancienne, elle semble dater de la fin du siècle dernier.
Souvent la permanence des points d’eau se décèle par la présence d’une flore hygrophile qui envahit le bord d’une guelta, le lit d’un oued ou le pourtour d’une source. Certains de ces végétaux essentiellement des roseaux, furent si abondants autrefois qu’ils se sont fossilisés sur place et qu’on en découvre les restes en bancs épais. Dans les gorges du Tassili-n-Ajjar les peuplements de joncs ne sont pas rares.
La terre saharienne
rend au centuple
dès que l’eau
lui vient
en abondance
rend au centuple
dès que l’eau
lui vient
en abondance
Les quatre éléments
Amicalement
Alain.