Bonjour à tous,
J’ai contacté Claude RADO à la suite de son inscription sur le Journal.
Je reproduis ci-après sa réponse.
Amitiés
Michel
« Bonjour, je ne vais pas dire « la classe » car j’appartiens à la 60 1/B et vous êtes pour la plupart de la classe 64 ou approchant. J’ai découvert votre journal par le plus grand des hasards, me baladant sur Internet. Une lubie, un caprice, un acte irréfléchi de curiosité m’a fait taper GST et quelle n’a pas été ma surprise de découvrir qu’il existait un journal et qu’il était lu par des vétérans comme moi, ça alors ! Sûrement des nostalgiques du GBO et de la dune de sable, du chèche kaki et du képi azur. Et puis en voyant des photos de mission m’est revenue l’odeur de la chorba, le crissement du sable sous la dent et l’arôme du gas-oil. Comme quoi les madeleines n’ont pas toujours l’odeur du beurre.
Mais une autre surprise de taille m’attendait. Parmi les différents articles proposés, un nom m’a fait bondir : Paul DELION. C’était lui, ça ne pouvait être que lui, celui que je ne cherchais même plus. Quel choc ! Alors j’ai cherché à vous joindre pour avoir ses coordonnées. Manque de pot mes rapports avec mon ordinateur sont parfois conflictuels et rien que pour me contrarier il me bouffe des messages si bien que je ne suis jamais sûr qu’ils aient atteint leurs destinataires. Donc je savais qu’il était vivant.
Par conséquent il me fallait ses coordonnées de toute urgence. Ne pouvant vous joindre, ou du moins le croyant, j’ai consulté des annuaires d’adresses email, sans succès mais l’annuaire des Pages Blanches m’a enfin donné les coordonnées de 5 Paul DELION ; après ça, il ne me restait plus qu’à mener une enquête du niveau d’un inspecteur de première classe pour, enfin, retrouver le copain disparu. Merci à vous d’avoir contribué au rapprochement des peuples. Je n’ai jamais aimé les associations d’anciens élèves, d’anciens poupons de la crèche des Saules, d’anciens combattants et je sais que ce n’est pas votre but. Je vous promets donc de lire régulièrement vos chroniques. Je vous dois bien ça !
Bien cordialement à vous.
Claude Rado »
J’ai contacté Claude RADO à la suite de son inscription sur le Journal.
Je reproduis ci-après sa réponse.
Amitiés
Michel
« Bonjour, je ne vais pas dire « la classe » car j’appartiens à la 60 1/B et vous êtes pour la plupart de la classe 64 ou approchant. J’ai découvert votre journal par le plus grand des hasards, me baladant sur Internet. Une lubie, un caprice, un acte irréfléchi de curiosité m’a fait taper GST et quelle n’a pas été ma surprise de découvrir qu’il existait un journal et qu’il était lu par des vétérans comme moi, ça alors ! Sûrement des nostalgiques du GBO et de la dune de sable, du chèche kaki et du képi azur. Et puis en voyant des photos de mission m’est revenue l’odeur de la chorba, le crissement du sable sous la dent et l’arôme du gas-oil. Comme quoi les madeleines n’ont pas toujours l’odeur du beurre.
Mais une autre surprise de taille m’attendait. Parmi les différents articles proposés, un nom m’a fait bondir : Paul DELION. C’était lui, ça ne pouvait être que lui, celui que je ne cherchais même plus. Quel choc ! Alors j’ai cherché à vous joindre pour avoir ses coordonnées. Manque de pot mes rapports avec mon ordinateur sont parfois conflictuels et rien que pour me contrarier il me bouffe des messages si bien que je ne suis jamais sûr qu’ils aient atteint leurs destinataires. Donc je savais qu’il était vivant.
Par conséquent il me fallait ses coordonnées de toute urgence. Ne pouvant vous joindre, ou du moins le croyant, j’ai consulté des annuaires d’adresses email, sans succès mais l’annuaire des Pages Blanches m’a enfin donné les coordonnées de 5 Paul DELION ; après ça, il ne me restait plus qu’à mener une enquête du niveau d’un inspecteur de première classe pour, enfin, retrouver le copain disparu. Merci à vous d’avoir contribué au rapprochement des peuples. Je n’ai jamais aimé les associations d’anciens élèves, d’anciens poupons de la crèche des Saules, d’anciens combattants et je sais que ce n’est pas votre but. Je vous promets donc de lire régulièrement vos chroniques. Je vous dois bien ça !
Bien cordialement à vous.
Claude Rado »