Bonjour à tous;
Le thé, c’est le présent dans un passé qui ne veut
pas mourir. C’est un rite, une réflexion,
une façon de voir les choses.L’élégance du geste
dénote non seulement l’habitude,
mais un comportement réglé par la non-valeur
du temps et la nécessité de bien faire
pas mourir. C’est un rite, une réflexion,
une façon de voir les choses.L’élégance du geste
dénote non seulement l’habitude,
mais un comportement réglé par la non-valeur
du temps et la nécessité de bien faire
Le rituel du thé finit par évoquer
quelque célébration
quelque célébration
Ces Touareg ont fait halte dans
l’oued Djerat. Avant le thé on
se concerte. Les chameaux sont
déjà débâtés, les guerbas pendues
à des branches d’éthel.
C’est une tradition dangereuse de
s’arrêter à proximité du bois fréquenté
pendant l’été par la mortelle vipère
à corne. Les Touareg choisissent
volontiers de s’asseoir « en tailleur »
position réputée inconfortable par
les Européens
l’oued Djerat. Avant le thé on
se concerte. Les chameaux sont
déjà débâtés, les guerbas pendues
à des branches d’éthel.
C’est une tradition dangereuse de
s’arrêter à proximité du bois fréquenté
pendant l’été par la mortelle vipère
à corne. Les Touareg choisissent
volontiers de s’asseoir « en tailleur »
position réputée inconfortable par
les Européens
'SAHARA toujours recommencé'