Bonjour à tous
Une alimentation aux limites
de l’imaginable.
La nourriture des Touareg est très inégale en quantité et en valeur nutritive selon les saisons, les années, les régions.
Le voyageur se voit souvent offrir des Tikomarine que l’on grignote pour tromper la faim.
A proximité du plat de sparterie la calebasse. Cet objet, garni ou non d’une enveloppe de cuir, tient lieu de bouteille, principalement chez les touaregs des régions méridionales.
Le tikomarine : retour à l’article sur le site
La sparterie : une fibre végétale dure. Par extension, le terme regroupe la fabrication d'objets en fibres dures, en particulier issues de la noix de coco du sisal (agave), du jute et de la ronce.
Le couscous s’est « civilisé » si l’on peut nommer ainsi le fait d’utiliser une cuillère à la place des doigts qui agiles, savaient à la perfection réaliser des boulettes qu’il fallait porter à la bouche sans faire tomber la moindre miette.
Un Européen arrivant à l’improviste dans un campement va d’étonnement en étonnement, car en aucun lieu du monde la valeur de la moindre chose est si bien connue.
Dans les campement de l’air on concasse les noyaux de dattes qui longuement détrempés, seront ingurgités de force par le chameau auquel ils procureront une belle « bosse », cette réserve de graisse qui lui permet d’affronter un certain temps les pires privations
Amicalement
Alain.
Une alimentation aux limites
de l’imaginable.
La nourriture des Touareg est très inégale en quantité et en valeur nutritive selon les saisons, les années, les régions.
Le voyageur se voit souvent offrir des Tikomarine que l’on grignote pour tromper la faim.
A proximité du plat de sparterie la calebasse. Cet objet, garni ou non d’une enveloppe de cuir, tient lieu de bouteille, principalement chez les touaregs des régions méridionales.
Le tikomarine : retour à l’article sur le site
La sparterie : une fibre végétale dure. Par extension, le terme regroupe la fabrication d'objets en fibres dures, en particulier issues de la noix de coco du sisal (agave), du jute et de la ronce.
Le couscous s’est « civilisé » si l’on peut nommer ainsi le fait d’utiliser une cuillère à la place des doigts qui agiles, savaient à la perfection réaliser des boulettes qu’il fallait porter à la bouche sans faire tomber la moindre miette.
Un Européen arrivant à l’improviste dans un campement va d’étonnement en étonnement, car en aucun lieu du monde la valeur de la moindre chose est si bien connue.
Dans les campement de l’air on concasse les noyaux de dattes qui longuement détrempés, seront ingurgités de force par le chameau auquel ils procureront une belle « bosse », cette réserve de graisse qui lui permet d’affronter un certain temps les pires privations
Amicalement
Alain.