3 participants
Rencontres avec les renards des sables
Michel FERNEZ- Messages : 428
Date d'inscription : 11/08/2009
Age : 78
Localisation : Grigny (Essonne)
- Message n°1
Rencontres avec les renards des sables
Alain BROCHARD- Messages : 366
Date d'inscription : 16/08/2009
Age : 81
Localisation : Le Verdon sur Mer 33123 (Gironde)
- Message n°2
Rencontre avec les renards des sables
Bonjour à tous
Au cours du temps passé à Reggan, je me souviens qu'au moins une fois un des PLBT qui venait de temps à autre nous préparer du thé dans la fillod, nous amenait toujours des choses à échanger entre roses de sable, bois pétrifié et autres, il arriva un jour avec un fennec qu'il avait attrapé au piège. La pauvre bête avait les deux pattes arrière cassées et n'avait pas l'intention de faire l'objet d'un quelconque échange, à la vue de la rangée de canines qui apparaissaissaient accompagnées de cris à la fois de douleur et défense.
Personne de notre groupe ne donna suite et le compère repartit avec sa prise qui en bien mauvaise état dû certainement finir du coup "du lapin" pour ne pas dire "du fennec" vu que cette prise ne valait pas un "kopec".
Je n'ai connu personne par la suite qui avait à Reggan -Plateau adopté une de ces pauvres bêtes.
Quoique un jour lors d'un transit à Oran La Senia, un appelé du contingent Terre, qui revenait de "perm'", avait avec lui un de ces petits renards plus ou moins apprivoisé, mais qui semblait plutôt malheureux de cette vie captive. Attaché au pied du lit l'air amorphe il devait rêver d'être en train de courir les sables du désert.
Au cours du temps passé à Reggan, je me souviens qu'au moins une fois un des PLBT qui venait de temps à autre nous préparer du thé dans la fillod, nous amenait toujours des choses à échanger entre roses de sable, bois pétrifié et autres, il arriva un jour avec un fennec qu'il avait attrapé au piège. La pauvre bête avait les deux pattes arrière cassées et n'avait pas l'intention de faire l'objet d'un quelconque échange, à la vue de la rangée de canines qui apparaissaissaient accompagnées de cris à la fois de douleur et défense.
Personne de notre groupe ne donna suite et le compère repartit avec sa prise qui en bien mauvaise état dû certainement finir du coup "du lapin" pour ne pas dire "du fennec" vu que cette prise ne valait pas un "kopec".
Je n'ai connu personne par la suite qui avait à Reggan -Plateau adopté une de ces pauvres bêtes.
Quoique un jour lors d'un transit à Oran La Senia, un appelé du contingent Terre, qui revenait de "perm'", avait avec lui un de ces petits renards plus ou moins apprivoisé, mais qui semblait plutôt malheureux de cette vie captive. Attaché au pied du lit l'air amorphe il devait rêver d'être en train de courir les sables du désert.
Esope et Jean de La Fontaine ont combien eu raison de nous faire comprendre qu'un collier ne valait pas un trésor.
Jean-Marie DALSTEIN- Messages : 10
Date d'inscription : 27/09/2009
- Message n°3
Re: Rencontres avec les renards des sables
Bonjour à tous Bonjour Alain
Erreur Alain j’en possédai un également une patte de devant fracturée avec déchirure et plaie mais pas trop grave dans l’ensemble. Comme étant au mess des officiers un aspirant médecin me proposa de le soigner .Après quelques soins à l’hôpital du plateau aucune séquelle à déplorer. La patte était plâtrée environ 3 semaines. Impossible de le domestiquer .Par peur il montrait toujours ses crocs .Ne ce nourrissait que la nuit jamais le jour. Au bout de 3 mois il prit ses jambes à son cou, déchirure du collier. Il était bien mieux dans son milieu naturel .Difficile à ramener en France fallait les vaccins contre la rage et une cage adaptés .Je possédai un dob très facile à domestiquer a survécue 2 années en Lorraine .Encore mort par accident colonne vertébrale brisée par un bout de bois
Amicalement
Jean Marie
Erreur Alain j’en possédai un également une patte de devant fracturée avec déchirure et plaie mais pas trop grave dans l’ensemble. Comme étant au mess des officiers un aspirant médecin me proposa de le soigner .Après quelques soins à l’hôpital du plateau aucune séquelle à déplorer. La patte était plâtrée environ 3 semaines. Impossible de le domestiquer .Par peur il montrait toujours ses crocs .Ne ce nourrissait que la nuit jamais le jour. Au bout de 3 mois il prit ses jambes à son cou, déchirure du collier. Il était bien mieux dans son milieu naturel .Difficile à ramener en France fallait les vaccins contre la rage et une cage adaptés .Je possédai un dob très facile à domestiquer a survécue 2 années en Lorraine .Encore mort par accident colonne vertébrale brisée par un bout de bois
Amicalement
Jean Marie