Bonjour à tous
Petit souvenir de la vie courante, si je peux m’exprimer ainsi.
Suite au récit de Jean-Marie, nous avons sûrement, pour la plupart, oublié nos premiers jours au Sahara, mais pas l’arrivée des bleus, qui ne connaissaient pas encore les effets secondaires de l’eau du robinet… oui, celle un peu trouble que nous gardions dans nos quarts, face aux humidos. Certains, plus fragiles que d’autres, étaient touchés immédiatement, par un de ses effets !!!
Les commodités du garage n’étaient pas très proches de nos chambres et beaucoup n’avaient pas le temps d’arriver à bon port. Ils avaient de petits problèmes en cours de chemin, ce qui, en bons sadiques, nous faisait rire, il faut dire que les amusements étaient rares. Heureusement les effets s’estompaient avec le temps, en attendant l’arrivée d’une nouvelle classe, pour de nouveau rire un peu, sans oublier qu’un jour, nous aussi avons été bleus. Le tourisme de masse a permis de faire connaître cet effet, ainsi que le nom qui lui a été donné, la tourista, ah vous connaissez ?
Oui je sais, cet article n’est pas d’une haute portée intellectuelle, mais, vécu par beaucoup d’entre-nous, qui j’espère, doivent encore bien en rire aujourd’hui.
Amicalement.
Roland
Petit souvenir de la vie courante, si je peux m’exprimer ainsi.
Suite au récit de Jean-Marie, nous avons sûrement, pour la plupart, oublié nos premiers jours au Sahara, mais pas l’arrivée des bleus, qui ne connaissaient pas encore les effets secondaires de l’eau du robinet… oui, celle un peu trouble que nous gardions dans nos quarts, face aux humidos. Certains, plus fragiles que d’autres, étaient touchés immédiatement, par un de ses effets !!!
Les commodités du garage n’étaient pas très proches de nos chambres et beaucoup n’avaient pas le temps d’arriver à bon port. Ils avaient de petits problèmes en cours de chemin, ce qui, en bons sadiques, nous faisait rire, il faut dire que les amusements étaient rares. Heureusement les effets s’estompaient avec le temps, en attendant l’arrivée d’une nouvelle classe, pour de nouveau rire un peu, sans oublier qu’un jour, nous aussi avons été bleus. Le tourisme de masse a permis de faire connaître cet effet, ainsi que le nom qui lui a été donné, la tourista, ah vous connaissez ?
Oui je sais, cet article n’est pas d’une haute portée intellectuelle, mais, vécu par beaucoup d’entre-nous, qui j’espère, doivent encore bien en rire aujourd’hui.
Amicalement.
Roland