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« Le premier pou, un gros, bien sûr : Pediculus vestimenti.
Retour à l'article sur le site : http://groupedetransport3.ifrance.com/CONSEILSAUMEHARISTEDEBUTANT.htm
2 participants
Conseils au méhariste débutant
Michel FERNEZ- Messages : 427
Date d'inscription : 11/08/2009
Age : 78
Localisation : Grigny (Essonne)
« Le premier pou, un gros, bien sûr : Pediculus vestimenti.
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Alain BROCHARD- Messages : 366
Date d'inscription : 16/08/2009
Age : 81
Localisation : Le Verdon sur Mer 33123 (Gironde)
Grande leçon de vie Michel
Je n'ai malheureusement pas pu être enseigné au Sahara de tous ces aspects importants de la vie, refusé aujourd'hui par la plupart et qui donne un autre aperçu de nous-mêmes parmi les autres dans notre environnement planétaire. À l'époque, je n'avais pas le mental pour comprendre ça. L'enseignement du désert apporte cette façon d'être, de façon naturelle. Notre civilisation de citoyens à l'abri de la ''naturalité'' de la vie nous éloigne de cette façon d'être qui est un manque que nous traînons sans le savoir pendant notre ''passage''.
Heureusement pour moi, les Japonais m'ont appris par la suite ces grandes leçons, quand l'homme doit se dépasser lui-même à travers une souffrance physique indispensable à la projection de l'esprit.
Plus tard, l'approche de notre environnement devient différent et il est facile alors de maîtriser ce qui se passe autour de nous. Car au bout du compte la première des actions ayant été de se maîtriser soi-même, l'appréhension, la peur, le stress deviennentt inopérant par rapport à nous-mêmes.
Théodore MONOD, le rappelle dans tous ses ouvrages, il n'a rien inventé, il a découvert, il n'a pas subi, il a su résister, c'est pourquoi son exemple restera indélébile.
Merci Michel de cette belle page d'un homme incomparable.
Alain
Je n'ai malheureusement pas pu être enseigné au Sahara de tous ces aspects importants de la vie, refusé aujourd'hui par la plupart et qui donne un autre aperçu de nous-mêmes parmi les autres dans notre environnement planétaire. À l'époque, je n'avais pas le mental pour comprendre ça. L'enseignement du désert apporte cette façon d'être, de façon naturelle. Notre civilisation de citoyens à l'abri de la ''naturalité'' de la vie nous éloigne de cette façon d'être qui est un manque que nous traînons sans le savoir pendant notre ''passage''.
Heureusement pour moi, les Japonais m'ont appris par la suite ces grandes leçons, quand l'homme doit se dépasser lui-même à travers une souffrance physique indispensable à la projection de l'esprit.
Plus tard, l'approche de notre environnement devient différent et il est facile alors de maîtriser ce qui se passe autour de nous. Car au bout du compte la première des actions ayant été de se maîtriser soi-même, l'appréhension, la peur, le stress deviennentt inopérant par rapport à nous-mêmes.
Théodore MONOD, le rappelle dans tous ses ouvrages, il n'a rien inventé, il a découvert, il n'a pas subi, il a su résister, c'est pourquoi son exemple restera indélébile.
Merci Michel de cette belle page d'un homme incomparable.
Alain
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